Le gouvernement togolais à travers son ministère de la promotion de l’investissement a échangé, mardi 29 août, avec les représentants de la communauté des affaires au Togo au cours d’un « Petit-déjeuner des Investisseurs ».
Sous la direction de Rose Kari Mivedor, Ministre en charge de la promotion des investissements, les représentants des avocats, architectes, notaires et déclarants en douane, se sont réunis pour partager leurs perspectives, positives et négatives, sur les transformations du climat des affaires au Togo.
Ces transformations découlent des réformes mises en œuvre au cours des dernières années.
« La réunion d’aujourd’hui, qui rassemble avocats, architectes, notaires et déclarants en douane, constitue une occasion propice pour discuter des progrès accomplis par le gouvernement togolais en matière de réformes visant à améliorer constamment le climat des affaires « , indique Rose Kayi Mivedor.
Au fil des discussions, la cellule « Climat des affaires », rattachée à la Présidence togolaise, a présenté les récentes avancées du pays en matière d’amélioration du climat des affaires et a dressé un état des lieux actuel.
Les différentes parties prenantes, représentant leurs professions respectives, ont partagé leurs expériences et soumis leurs préoccupations aux divers participants, dans le but de renforcer les réformes lancées par le gouvernement. L’objectif ultime étant de concrétiser ces réformes en attirant davantage d’investisseurs vers le pays.
L’ensemble des contributions issues de cette séance servira de socle pour nourrir des arguments de plaidoyer et des recommandations. Ceci vise à accroître « l’attractivité de la Destination Togo », selon les termes de Rose Kayi Mivedor.
Notons qu’au premier trimestre de cette année, le Togo a approuvé 4 nouveaux projets d’investissement d’une valeur totale de 19 milliards FCFA, d’après les données fournies par le ministère. Pour l’ensemble de l’année 2022, un total de 36 projets a été enregistré, dont 18 relevant du Code des Investissements (CI) et 18 du statut de la Zone Franche (ZF), pour un montant total prévisionnel de 150,2 milliards FCFA.